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Trader : Le job des reves.

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Trader : Le job des reves. Empty Trader : Le job des reves.

Message par MacOSX Mer 21 Mai - 8:31

Ils gagnent encore plus que les PDG les mieux payés: Les salaires démentiels des stars de la finance
Trader : un métier en or massif ! Ces spécialistes des marchés financiers, chargés de faire tourner la machine à spéculer, sont rétribués en conséquence. Par an, leurs rémunérations atteignent des sommes de sept à huit chiffres. Plongée en apnée dans un océan de fric.
Plus riche que riche ». Cela existe. Bien sûr, les rémuné-rations des grands patrons, français ou non, font scan-dale, surtout s'ils sont rap-portés aux salaires moyens de leurs employés. Mais il existe des salariés qui, primes et bonus aidant, s'enrichissent parfois plus et plus vite. Ce sont les traders (« négociants» en anglais), ces princes de la finance, rois de la spécu-1ation qui jouent sur les actions, les obli-gations, les taux d'intérêt, les monnaies, sur les quatre plus grandes places bour-sières de la planète, New York, Londres, Paris, Tokyo, et demain Shanghai. Ils sont quelques milliers dans chacune d'entre elles. Un métier qui réclame des nerfs, des compétences et parfois de la chance. Les plus talentueux d'entre eux cache-tonnent à plusieurs dizaines de millions d'euros au titre de leur bonus... annuel. Recordman toute catégorie, un Anglo--Marocain chef du département« produits dérivés « exotiques» de Goldman Sachs, la banque d'affaires new-yorkaise. Driss ben Brahim aurait reçu près de 45 mil-lions d'euros en 2004. Une année qui n'a rien d'extraordinaire. Alors pour les grands millésimes... « L'année 2006 s'an-nonce particulièrement bonne en raison des nombreuses fusions et acquisitions et une hausse du Dow Jones », selon Traders Magazine, succédant à 2005 qui fut également excellente. L'an passé, les firmes de Wall Street ont distribué 21,5 milliards de dollars de bonus à leurs employés. En comptant les petites mains, qui reçoivent une partie de la manne, la moyenne s' éta-blit à 125000 dollars par employé. Les cadeaux bonus qui seront distri-bués pour partie à Noël vont, cette année encore, faire le bonheur des ven-deurs de Porsche et des palaces où se fête, à coups de grands crus à 3.000 euros la bouteille, la tombée de la manne. Le phénomène a pris une telle ampleur que le monde de la finance, qui occupe moins de 5 % des emplois à New York, représente plus de 20 % des revenus de la Grosse Pomme. On connaissait les « travailleurs pauvres », voici maintenant qu'il faut compter avec ces « travailleurs riches », selon l'expression du sociologue des mar-chés Olivier Godechot*.
Des travailleurs riches... c'est peu de le dire. Le métier est sacrément rémunérateur. « En moins de dix ans, on a grosso modo conservé le même chiffre pour les remu-nérations. Sauf que main-tenant elles sont facturées non plus en francs mais en euros. Soit une multipli-cation par 6 ou 7 », assure Thierry Carlier, un chas-seur de têtes de la société Humblot -Grant Alexander. Et argent vite gagné, argent vite dépensé. On ne compte plus les histoires de beu-veries londoniennes post-distribution de bonus. Et elles n'ont rien à envier aux extravagances des nouveaux riches rus-ses de la Côte d'Azur. Ainsi la presse bri-tannique a publié en 2005 la facture de la folle soirée d'un trader de la City qui a terminé sa nuit en repeignant les murs d'une boîte de nuit à coups de Dom Péri-gnon. Résultats: 38.000 euros de champagne et 27.000 euros de frais de nettoyage. Encore devait-il s'agir d'un novice peu habitué aux bonus, qui aura cramé en un soir son pécule. Confirmation de notre chasseur de têtes: « Un jeune trader performant à Londres se paye 100000 euros, plus 50 % en moyenne de bonus. Puis on monte de 1 à 3 millions d'euros pour un chef de desk. Pour Paris, il faut en moyenne retrancher 50 %, et pour New York ajouter 50 %. » Et puis il y a les stars, ceux qui sont arrivés tout en haut de la pyramide, de mœurs plus rigoureuses, comme souvent chez ces magiciens des chiffres. C'est le cas de Driss ben Brahim ou de son collègue Lau-rent Bouaziz, que Goldman a récemment piqué à BNP- Paribas. Mais là, impossible de connaître les conditions exactes de rémunération, clause de confidentialité oblige. Une disposition qui d'ailleurs s'ap-plique uniformément à l'ensemble de la profession, tant à Londres qu'à Paris. Du coup, difficile de trouver des estimations mais « ils seraient entre 1 000 et 1 500 à taper dans le million d'euros sur la place de Paris. Et une vingtaine à voir la lumière, autrement dit les 10 millions d'euros », estime un autre chasseur de têtes. Des histoires circulent. Par exemple: un bonus de 3 millions d'euros minimum garantis sur trois ans pour Marc Litzler. Tel serait le prix payé par Calyon (banque de mar-ché de Crédit agricole-Crédit lyonnais) pour débaucher de la Société générale son actuel directeur général délégué, chargé des marchés et du courtage.
La règle du "self credit"
« Parce que je le vaux bien », telle est la devise des traders. Dans les salles de mar-ché, tout le monde ne pense qu'à une chose: le pognon. Et si l'on est bien payé, c'est que tout simplement quelqu'un est prêt à vous rémunérer à ce niveau. Raisonnement on ne peut plus logique pour des gens dont le métier est fondé sur ce paradigme.
Aussi, même s'ils vivent dans un monde doré, ces golden boys sont - ils conscients de leurs salaires démesurés? En tout cas ils assument: «Je travaille 80 heures par semaine depuis la fin de mes études, et puisque j'ai rapporté 170 millions d'euros à ma firme l'an passé mon bonus à sept chif-fres me paraît justifié », explique l'un d'en-tre eux. Et le système est désormais bien rodé. Après quelque temps d'observation, les opérateurs de salles de marché ont obtenu une règle assez simple. De 20 %, sur les marchés peu risqués, à 50 %, sur les plus risqués, des bénéfices qu'ils génè-rent doivent leur être distribués. Autre-ment dit, quand une équipe génère 100 euros de résultats, la moitié de la somme lui revient, les dirigeants ou les actionnaires doivent s'y résoudre. « C'est le self cre-dit », explique fièrement le directeur d'une grande salle de marchés parisienne. Mais ce n'est qu'une moyenne, la hiérarchie est très forte au sein des équipes. Il ajoute: « S'il existe une sorte de norme de 50 % des bénéfices pour l'équipe, sa distribu-tion varie évidemment entre son sommet, qui peut capter jusqu'à 10 % de l'enveloppe, et la base qui en ramasse les miettes. Mais il n'y a pas véritablement de clef de distri-bution. Chaque chef distribue de façon dis-crétionnaire les bonus. Je dois alors gérer les susceptibilités. Alors que pour le reste, ce sont des équipes qui s'autogérent très faci-lement. » Et chacun est prié de respecter une stricte omerta sur son bonus. « Une véritable table de poker, où chacun cache son jeu: ceux qui ont touché gros veulent faire croire qu'ils ont été spoliés, et ceux qui n'ont pas touché grand-chose se taisent de peur de se faire passer pour des losers... », commente l'un d'eux.
Difficile en effet quand on a la main directement dans la caisse d'oublier que l'on a également des poches, surtout quand c'est légal et que l'on s'est assuré de la bienveillance des patrons. Car pas question de déroger à cette règle non écrite. Voire de faire fi des caprices de ces stars. «I.’arme absolue étant le chan-tage au départ. Et quand un chef part, c'est en général toute l'équipe qui passe à l'ennemi. Un drame pour l'établissement abandonné », explique Olivier Godechot. Il y a deux ans, face à ce type de chan-tage, le Crédit suisse First Boston a été obligé d'aligner 40 millions d'euros sup-plémentaires de bonus pour conserver une équipe de traders.
Des gains stratosphériques
Jean Peyrelevade doit également se sou-venir de deux de ces vedettes, alors qu'il était PDG du Crédit lyonnais. En 1999, à quelques jours de l'ouverture du capi-tal de la banque, un chef de salle et son adjoint posent leur démission sur son bureau. « La démission était effective sous quarante-huit heures, à moins que leurs contrats ne soient alignés sur celui, plus avantageux en termes de bonus, que la Deutsche Bank à Londres leur avait offi-ciellement proposé », se rappelle François Henry, de la CGT, un des rares syndicalis-tes à savoir ce qui se passe dans les salles de marchés. Pour le PDG, ces démissions auraient été comprises par les marchés, comme un terrible signe de défiance à la veille d'une introduction en Bourse. Peyrelevade cane.
Dès 1998, près de 300 traders du Lyon-nais dépassent le million de francs de rémunération. Avec la folie des Bourses durant l'année 2000, pour la première fois en France le cap des 10 millions d'euros est franchi. Joël Jeuvell, l'un des deux démis-sionnaires, encaisse son pari. Pour la petite histoire, sa carrière dans la banque pren-dra fin avec la prise de contrôle de l'éta-blissement par le Crédit agricole. Cause officielle: insuffisance de résultats... L'inflation des rémunérations vient de franchir en France une nouvelle étape. Elles prennent leur envol, droit vers la stratosphère.
Ces travailleurs riches gagnent désor-mais pour certains d'entre eux plus que leur boss. Du moins en France où « les patrons des banques ne sont pas issus de l'activité de marché comme c'est désor-mais le cas outre-Atlantique », rappelle un chasseur de têtes. Une hiérarchie qui pourrait changer à la faveur de la prise de pouvoir d'un homme de marché à la tête de la Société générale. Jean-Pierre Mustier, polytechni-cien et pur produit des desks, passé par la ban-que classique (la filiale asiatique), serait sur les rangs pour succéder à Daniel Bouton, issu de l'Inspection géné-rale des finances... Voilà qui serait à même de reconstruire une pyramide plus classi-que de la rémunération au sein du groupe. Et justifier cette inflation des salaires qui, partie des marchés, a entraîné avec elle l'inflation de la rémunération des patrons, comme de nombreux acteurs des marchés le subodorent...
Pour l'heure, la situation aboutit à un résultat paradoxal. Ce bon Daniel Bouton, PDG de la Société générale et auteur d'un rapport sur la gouvernance, peut se targuer d'avoir renoué en quelque sorte avec une certaine éthique du capitalisme: le fameux ratio de JP Morgan. Dans un étrange ren-versement des choses, il a repris la règle de l'emblématique banquier américain, qui fIxait un rapport de l à 20 entre les salaires, mais à l'envers: un trader de la Société générale peut gagner logiquement dix fois plus qu'un patron de la « Socgen », soit 3 millions d'euros. Hors ses stock-options... comme au moins une cinquan-taine d'autres de cette entreprise.
Transparence, connais pas!

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Trader : Le job des reves. Empty Re: Trader : Le job des reves.

Message par MacOSX Mer 21 Mai - 8:32

Ces niveaux mirobolants expliquent pour partie le silence total des établissements sur les rémunérations de leurs stars des marchés. Et pas question de fouiner dans les comptes. Excepté la Société générale, la plupart des grandes banques françai-ses ont filialisé leurs activités de marché et de banque d'investissement. Autre-ment dit, pas question de transparence... « Cela a déjà été dur de gérer nos salariés avec la polémique sur la rémunération des patrons, alors imaginez leur tête à l'évo-cation du bonus des millions d'euros de M. Tout-Ie-Monde ? explique un chargé de communication d'une grande banque. « Ingérable. » Et, effectivement, les syndicats sont bien loin d'avoir toutes les données en main. « Le plus gros bonus dont nous ayons eu connaissance est de 758.000 euros », assure Félix Guezenoc, délégué CGT de BNP -Paribas. Une rigolade. D'autant plus que désormais tous les salariés sont « bonussables ». « L’an-cienne gratification a laissé sa place pour l'ensemble des salariés à un supplément de rémunération nommé bonus », poursuit-il. Ingé-nieux: tout le monde est au bonus à l'anglo-saxonne. Pourtant, rien à voir entre la « gratte» du guichetier à 350 euros par an, celle de notre cadre sup de la banque de détail de 758.000 euros (trois fois son salaire) et celle du chef des produits dérivés exo-tiques dont la rémunération non commu-niquée peut théoriquement atteindre la dizaine de millions d'euros. Mais notre syndicaliste n'a eu accès qu'aux rémunérations de la banque de détail et pas à celles de sa filiale BNP Arbitrage, où sont logés les activités de marchés et leurs 640 salariés et qui ne publie pas de comptes suffisamment détaillés. Un travail ardu qui n'a pas rebuté Olivier Godechot : « L’analyse des comptes de cette filiale laisse ressortir que ses 510 opérateurs de marché et ses 130 non-cadres touchaient déjà en moyenne 725.000 euros par an en 2000 », s'amuse le socio-logue. Une boîte où le salaire brut moyen équivaut à presque 52 Smic par tête, pour toutes les têtes. « La finance, avant-garde du prolétariat?» s'amuse Olivier Gode-chot dans la revue suisse Carnets de bord. Le chercheur, volontairement provoca-teur, place pourtant bien le débat. En cap-tant une partie importante des bénéfices, les traders et leurs frères siamois dans les banques d'affaires ont, de fait, réussi à inverser à leur profIt le pouvoir de négo-ciation au sein des entre-prises. Paradoxalement, le secteur bancaire, en pointe dans la « création de valeur pour l'actionnaire », est aussi celui qui voit la caste des traders s'arroger plus de 50 % de la valeur créée... l’ année der-nière, Goldman Sachs aura ainsi distribué en bonus à ses salariés deux fois ses béné-fIces nets et vingt fois ce qu'il aura versé à ses actionnaires. On comprend dès lors que les traders préfèrent le salariat. Pour preuve, contrairement aux gagnants du Loto, rares sont ceux qui quittent leur bou-lot une fois le gros lot en poche. Driss ben Brahim répond toujours à son poste télé-phonique chez Goldman Sachs à Londres; 110000 euros par jour, à raison de 1,30 euros par seconde, ça motive.
« Les Travailleurs riches, d'Olivier Godechot, à paraître aux éditions la Découverte.

Goldman Sachs, le paradis du bonus
Les types qui aspirent à travailler chez Goldman Sachs sont prêts à payer un droit d'entrée tellement on gagne d'argent une fois à l'intérieur! »raconte Greg, un banquier d'une société concurrente. « Le plus dingue, chez GS, n'est pas qu'une poignée de mecs talentueux empochent 20 millions de dollars à la fin de l'année, c'est le nombre de médiocres qui se font 1 million de dollars! » En 2005, GS, un des plus gros money-makers (littéralement: « faiseurs de fric ») de New York, a mis de côté 11 milliards de dollars pour les bonus de ses employés, soit près de 500 000 dollars par tête de pipe. Bien entendu, la répartition n'est pas du tout égalitaire: quelques veinards ont perçu de 15 à 20 millions et la grande majorité moins de 100 000 dollars. Néanmoins, et c'est également le cas pour toutes les sociétés de Wall Street, tout le monde touche un bonus, même les secrétaires (de 10 % à 25 % de leur salaire) et les jeunes analystes peu diplômés (jusqu'à 100 % de leur salaire, qui tourne autour de 70 000 dollars par an). Dans une firme qui emploie 22 000 personnes dans le monde, la plus grosse partie du gâteau (les bonus) revient aux 250 partner managing directors, qui reçoivent tous en moyenne 2 millions de dollars quelle que soit leur performance annuelle. Le reste dépend de leur succès dans l'année écoulée et de leur valeur pour la firme. Dans ce petit jeu complexe, ce sont les traders qui tirent le mieux leur épingle du jeu, car ils sont considérés comme des « actifs» primordiaux. « Les traders ont des bonnes années et des moins bonnes, explique un familier de GS, mais comme ils ont un talent précieux et qu'ils agissent en électrons libres, il faut les payer généreusement les mauvaises années comme les bonnes afin qu'ils restent dans la société. »Selon le New York Magazine, un trader en produits énergétiques pour GS basé à Londres a empoché de 15 à 20 millions de dollars en 2005. Un de ses collègues, qui gère les capitaux propres de GS, a décroché près de 40 millions la même année! Ces sommes sont tellement énormes que, selon une histoire (non vérifiée) qui circule dans la société, une secrétaire londonienne aurait été capable de détourner à son profit 7,5 millions de dollars provenant des bonus de ses trois supérieurs hiérarchiques avant qu'ils ne s'en rendent compte. Entre-temps, elle s'était acheté une villa à Chypre, une Aston Martin et 700 000 dollars de bijoux Cartier.

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